GKND, les définitions illustrées du Geektionnerd

Simon Giraudot est l’auteur du blog Geektionnerd.net et sévit aussi sur le Framablog, où son univers et son style ne manquent jamais d’apporter un brin d’humour geek sans toutefois se réserver aux seuls initiés.
Les définitions illustrées du Geektionnerd, placées sous licence Creative Commons, réunissent depuis plusieurs années des lecteurs réguliers. Ces billets font intervenir un héros des temps modernes, appelé «le Geek», issu d’un mélange entre l’inspiration personnelle de l’auteur et sa biographie d’informaticien passionné de sciences et de nouvelles technologies. Cependant, d’autres personnages sont venus apporter une variation du même archétype: «le Nerd» (avec les lunettes), que l’on pourrait définir comme une sorte de geek asocial, et plus tard «la Geekette», une version féminine (mais pas forcément féministe).
Le format des articles de blog ne permettant pas un développement approfondi de ces personnages, Simon Giraudot a décidé de livrer page par page les planches qui formèrent petit à petit le premier tome de GKND, encouragé par les commentaires de ses lecteurs.
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Tome 5: How I met your sysadmin

Déjà, ceci n’est pas une histoire d’amour. Ceci n’est pas non plus une histoire de fesse(s). Si je vous ai réunis aujourd’hui les enfants, c’est pour vous raconter comment j’ai rencontré votre Sys-Admin.
Depuis plus de 3 ans qu’ils se tournent autour sur le blog geektionnerd.net… il était temps que l’on sache comment la Geekette et le Geek se sont mis ensemble! Gee ne nous laisse pas sur notre faim et conclut cette série de BD libres (publiées dans la collection Framabook) dans un romantisme farouchement moderne et déjouant tous les clichés. L’humour, omniprésent, souligne les émotions et ancre l’histoire d’amour dans une fine observation de nos timidités, maladresses et autres adorables fautes d’égo… Il en devient dommage de devoir dire au revoir à ces personnages tant ils sont attachants! Une BD libre à partager avec qui aime geeker, draguer et se marrer…
Le cinquième tome du GKND conclu cette série de bédés libres éditées par Framasoft.
Tome 4: Au temps pour moi
Ce 4e tome du Geektionnerd nous entraîne dans une aventure exceptionnelle!
Au programme: voyage dans le temps over-clocké, redémarrage de systèmes totalitaires, et compilation de piques sur les brevets et la propriété intellectuelle.
Gee: «L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui n’est pas une histoire comme les autres. Elle fait figure d’exception dans le code source de ma vie.»
Tome 3: Licence de la vie
L’histoire se passe à peu près 4 mois après la précédente.
Les trois amis sont en période de partiels et ont pour projet d’assister à une conférence du célèbre Richard Stallman.
Sauf que l’instigateur du mouvement du logiciel libre ne fait pas l’unanimité chez leurs camarades d’amphi et qu’un certain «Corporate Club» va tout faire pour leur mettre des bâtons dans les roues (au sens propre comme figuré).
Tome 2: Le GNU du risque

Sortie de son environnement naturel, notre équipe de geeks devra dans cet album affronter les «vrais» éléments naturels, dans un duel permanent avec l’hostilité montagnarde.
Parviendront-ils à capter un réseau wifi au pied des pistes de ski? Réussiront-ils à rejoindre, au fond de la vallée, un rassemblement de geeks?
Suite logique du premier tome, celui-ci continue à poser le décor et les caractères des personnages.
A l’occasion des 12e Rencontres Mondiales du Logiciel Libre tenues à Strasbourg du 9 au 14 juillet 2011, le tome 2 du Geektionnerd connu un accueil fulgurant, aussi bien sur Internet que sur les lieux même de la manifestation où l’Auteur peinait à satisfaire toutes les demandes de dédicaces!
Tome 1: Rencontre du troisième type

J’ai commencé une histoire qui débutait par une ‘journée type’ du personnage du Geek, sans trop savoir ce que j’allais en faire. Finalement, après avoir développé une intrigue, je me suis dit que cela pouvait faire une BD longue sympa, en gardant à l’esprit la formule un dessin = un gag (ou plus).
Ainsi, la forme est assez spéciale, il n’y a que 3 ‘cases’ par pages (ce qui est très peu par rapport à une BD classique) avec beaucoup de texte, et notamment un texte narratif qui suit les pensées du Geek à la première personne.
Simon Giraudot